Un tableau d'une paix absolue.

Comme un cri venant du cœur!

Il y eut cette envolée, portée de douceur.

Ce poème n'a aucun sens!

Tu te donnes, la mélodie gronde.

Le feu s'est entièrement consumé.

Tu devrais m'embrasser, ici, Maintenant, tant que tu le peux.

N'osant avancer ni reculer, je l'observe.

Je m'éloigne bien loin du rivage.

Elle danse encore.

Je sais que beaucoup m'oublieront.

Le ciel en feu semblait avoir épargné, à sa grande stupeur, Les deux amants sur la plage isolée.

Le puissant son du silence, Résonnait dans l'étendue immense.

Cette vie qui jamais ne dort.

Dans ma mémoire résonnent des mots Si lointains je dirais au bas mot Que personne ne les a jamais prononcés. Pourtant je vois mes maux...

Ma main glisse sur ses doux rêves...

Expliquez-donc la fondamentale importance. Qu'il y a à plaire ou à inspirer l'indifférence.

Ici, il fait chaud comme en plein jour...

Il ne reste qu’une ombre sur le papier peint…